Les TMS sont des dysfonctionnements touchants les muscles, les tendons, les nerfs, tous ce qui se rapporte à la mobilité d’une articulation ou d’une zone. Généralement, le dos, les épaules, les cervicales sont les parties du corps les plus touchées. Pour autant, si le caractère propre de ce dysfonctionnement entraine une perte de mobilité de certaine zone, il peut de surcroît entrainer des réponses neurologiques conduisant à des troubles digestifs, des irradiations dans les membres, des migraines …
Comment se trouble survient-il ?
L’origine des TMS est plurifactorielle cependant la cause principale reste l’activité professionnelle (positionnement, gestuelle, répétition). Cette conclusion s’appuie sur le résultat d’analyses réalisées en 2009 par l’Assurance Maladie. Cette dernière met en évidence que 80% des arrêts de travail déposés ou des réparations financières versées résultent des séquelles dues aux TMS. (Source Ameli)
Ce qu’il se passe et les répercussions :
Le mécanisme d’installation demeure le même et reste indépendant de son origine. Ceci en raison du fait qu’il résulte d’un déséquilibre physique et d’une sur-sollicitations mécaniques. C’est un mécanisme lent, qui s’installe après une longue période intense de travail. Un Trouble Musculo Squelettique à pour conséquence d’entrainer une fragilité plus importante du corps. En effet, lors de mouvements brusques ou bien de « coup de froid », le corps sera dans l’incapacité s’adapter et de se défendre. Ce dysfonctionnement va conduire le corps à se figer, ainsi le patient sera bloqué. Il en résultera des douleurs musculaires, des raideurs, des migraines et de la fatigue.
L’action ostéopathique :
Dans ce contexte, l’ostéopathie, médecine manuelle globales, s’emploie constamment à prévenir, diagnostiquer et traiter des restrictions de mobilité. Dès lors, l’objectif va être de permettre au corps du patient d’être équilibrer par la libération de tensions musculaires, tissulaires, viscérales et/ou par la libération articulaire.
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